Politique et planification familiale au Népal

Lors du sommet sur la planification familiale qui s’est tenu à Londres en juillet 2017, le gouvernement du Népal a réaffirmé les engagements qu’il avait pris en 2015 dans le cadre de la planification familiale 2020. Pour tenter de s’assurer que les femmes de tout le pays ont accès à l’ensemble des options contraceptives, le gouvernement a l’intention d’augmenter son budget de planification familiale de 7 % chaque année.

Des investissements plus importants dans la contraception moderne et les soins de santé maternelle et néonatale au Népal permettraient de réduire le nombre de grossesses non désirées, d’avortements et de décès maternels.

L’accès aux contraceptifs modernes et aux soins de santé maternelle et néonatale est essentiel pour promouvoir le bien-être des femmes népalaises et de leurs enfants, mais un nouveau rapport publié par l’Institut Guttmacher et le Centre de recherche sur l’environnement, la santé et les activités de population (CREHPA) au Népal montre que de nombreuses femmes ne bénéficient pas des services dont elles ont besoin.

Enquête sur l’élaboration d’une vision collective de la planification familiale pour l’après-2020

Cette enquête fait partie du processus d’élaboration d’une vision collective de la planification familiale pour l’après-2020, qui tient compte des principales tendances mondiales et régionales et fournit des recommandations pour les partenariats et les stratégies à venir. Nous sollicitons votre contribution pour développer cette vision – votre contribution, vos opinions et vos idées peuvent jouer un rôle dans la suite des événements.

Une initiative à grande échelle permet de réduire le nombre de décès de mères et de nouveau-nés en Indonésie

Une initiative financée par les États-Unis pour améliorer la qualité des soins et des références pendant la grossesse et l’accouchement en Indonésie a entraîné une réduction significative de la mortalité maternelle et néonatale dans les hôpitaux participants, selon une nouvelle étude dirigée par des scientifiques de l’École de santé publique Johns Hopkins Bloomberg.