Les comtés kenyans prennent des mesures pour prévenir les grossesses chez les adolescentes

Quatre comtés kenyans ont, pour la première fois, mis en place des groupes de travail gouvernementaux multi-agences dotés de plans d’action pour lutter contre le taux élevé de grossesses chez les adolescentes. Les plans d’action s’engagent à mobiliser des ressources, à lever les obstacles politiques et à améliorer l’efficacité de la fourniture d’informations et de services en matière de contraception pour les jeunes âgés de 10 à 19 ans. En juin 2019, les plans d’action sont officiellement approuvés et leur mise en œuvre est en cours.

Le Bangladesh a besoin d'”investissements intelligents” pour atteindre les objectifs de FP2020 : Expert

Syed Abdul Hamid, directeur de l’Institut d’économie de la santé de l’université de Dhaka, a déclaré que le Bangladesh était encore loin d’avoir atteint les indicateurs de la planification familiale 2020, plus connue sous le nom de FP2020. “Et c’est pourquoi des investissements intelligents sont nécessaires”, a-t-il déclaré lors d’une session en marge de la… Continue reading Le Bangladesh a besoin d’”investissements intelligents” pour atteindre les objectifs de FP2020 : Expert

Neuf pays rejoignent le Mécanisme de financement mondial ; 36 pays sont désormais concernés par les besoins les plus importants des femmes, des enfants et des adolescents en matière de santé et de nutrition.

Suite à l’événement de reconstitution du GFF en novembre 2018 qui a permis de lever plus d’un milliard de dollars US pour le Mécanisme de financement mondial pour les femmes, les enfants et les adolescents (GFF), le GFF a annoncé aujourd’hui que 9 pays – le Tchad, le Ghana, la Mauritanie, le Niger, le Pakistan, la Somalie, le Tadjikistan, la Zambie et le Zimbabwe – rejoindront le GFF, ce qui porte à 36 le nombre total de pays soutenus par le GFF.

Un impératif pour l’après-2020 : Aider les garçons et les hommes à embrasser la santé et les droits sexuels et génésiques

Comme le reconnaît de plus en plus le domaine des droits à la santé sexuelle et reproductive (DSSR), l’inégalité entre les sexes et les normes restrictives liées au genre nuisent à tout le monde en causant des dommages évitables à la santé et au bien-être. Qu’il s’agisse de normes qui encouragent l’exploration sexuelle masculine et la réticence féminine, de normes qui limitent l’accès des femmes à l’information et au monde extérieur, de normes qui sanctionnent la domination physique, émotionnelle ou sexuelle des hommes sur les femmes, ou de normes qui donnent la priorité aux besoins nutritionnels des garçons par rapport à ceux des filles, les normes restrictives portent atteinte à la santé et au bien-être dans le monde entier.

Développer une approche innovante pour réduire la mortalité maternelle

Malgré plusieurs interventions visant à réduire le taux de mortalité maternelle (TMM), le Nigeria contribue toujours à hauteur de 10 % au fardeau mondial des décès maternels. Selon l’enquête nationale sur la démographie et la santé (NDHS), la mortalité maternelle est l’une des plus élevées au monde, avec une estimation de 574 décès maternels pour 100 000 naissances vivantes. Cette énorme charge de mortalité maternelle fait de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique une priorité mondiale.