Un impératif pour l’après-2020 : Aider les garçons et les hommes à embrasser la santé et les droits sexuels et génésiques

Comme le reconnaît de plus en plus le domaine des droits à la santé sexuelle et reproductive (DSSR), l’inégalité entre les sexes et les normes restrictives liées au genre nuisent à tout le monde en causant des dommages évitables à la santé et au bien-être. Qu’il s’agisse de normes qui encouragent l’exploration sexuelle masculine et la réticence féminine, de normes qui limitent l’accès des femmes à l’information et au monde extérieur, de normes qui sanctionnent la domination physique, émotionnelle ou sexuelle des hommes sur les femmes, ou de normes qui donnent la priorité aux besoins nutritionnels des garçons par rapport à ceux des filles, les normes restrictives portent atteinte à la santé et au bien-être dans le monde entier.

Neuf pays rejoignent le Mécanisme de financement mondial ; 36 pays sont désormais concernés par les besoins les plus importants des femmes, des enfants et des adolescents en matière de santé et de nutrition.

Suite à l’événement de reconstitution du GFF en novembre 2018 qui a permis de lever plus d’un milliard de dollars US pour le Mécanisme de financement mondial pour les femmes, les enfants et les adolescents (GFF), le GFF a annoncé aujourd’hui que 9 pays – le Tchad, le Ghana, la Mauritanie, le Niger, le Pakistan, la Somalie, le Tadjikistan, la Zambie et le Zimbabwe – rejoindront le GFF, ce qui porte à 36 le nombre total de pays soutenus par le GFF.