Les députés indiens et japonais agissent rapidement pour mettre en œuvre des plans de santé sexuelle et reproductive après la CIPD25

Des parlementaires de l’Inde et du Japon ont pris les devants en agissant peu après le récent sommet de Nairobi sur la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD25).

  • Le sommet de trois jours qui s’est tenu dans la capitale kenyane – du 12 au 14 novembre – s’est achevé sur la prise de plus de 1 200 engagements par les partenaires de 180 pays en vue d’accélérer la réalisation de la promesse faite au Caire, en Égypte, il y a 25 ans.
  • Dans un effort renouvelé, les gouvernements, le secteur privé et les agences de développement ont mobilisé 9 milliards de dollars pour atteindre les trois zéros visés : zéro décès maternel, zéro besoin non satisfait en matière de planification familiale et zéro violence fondée sur le genre et pratiques néfastes d’ici 2030.
  • Selon le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), le coût total de la réalisation, au cours de la décennie, de l’objectif de développement durable n° 5 relatif à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes et des filles s’élève à 264 milliards de dollars.

  • Si la collecte de fonds et la prise d’engagements sont plausibles, le véritable test réside dans la mise en œuvre de politiques globales au niveau national.