Premières estimations des effets indirects de la pandémie de COVID-19 sur la mortalité maternelle et infantile dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire : une étude de modélisation

A mother holds her newborn twins, who were delivered under the supervision of trained health professionals at Sri Krishna Medical College and Hospital, a public health facility. Institutional births are one of the government of India's key strategies to reduce infant and maternal mortality, and to improve the overall health of the mother and child. An average of 7,000 births take place at Sri Krishna Medical College and Hospital each year.

Bien que les taux de mortalité liés au COVID-19 semblent faibles chez les enfants et les femmes en âge de procréer, ces groupes pourraient être affectés de manière disproportionnée par l’interruption des services de santé de routine, en particulier dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire (PRFI).

La violence fondée sur le sexe augmente &amp ; le planning familial est menacé. Nous pouvons faire mieux.

Alors que la pandémie de COVID-19 fait du maintien au foyer la nouvelle norme, le monde assiste à une nouvelle montée en puissance : la violence à l’encontre des femmes et des filles. Dans tous les pays du monde, on assiste à une augmentation spectaculaire des signalements d’infractions sexuelles, des appels aux services d’assistance téléphonique et des demandes d’hébergement d’urgence.

Le FNUAP fournit la mise à jour du COVID-19

Halima Umubyeyi is a health worker who often participates in Kasha's community outreach programs. Kasha is an e-commerce company that enables confidential purchases of health care products, including contraceptives, pregnancy tests, and HIV oral self-test kits. Given the stigma frequently associated with requesting these products, this confidentiality facilitates access to sexual and reproductive health information and counseling, particularly for youth. Kasha holds community outreach programs to sensitize people to its confidential services.

Le COVID-19 perturbe déjà les services de planning familial. Le FNUAP estime que 47 millions de femmes pourraient perdre l’accès à une contraception moderne si la situation perdure pendant six mois, ce qui pourrait entraîner près de 7 millions de grossesses non désirées.

Atteindre les nouveaux parents dans les villes de l’Uttar Pradesh favorables aux jeunes et soutenues par la TCIHC

Young family with child posing on the background of an abandoned building

L’initiative Challenge pour les villes saines (TCIHC) en Inde a travaillé stratégiquement par le biais de son programme de santé sexuelle et reproductive des adolescents et des jeunes (AYSRH) pour atteindre les premiers parents avec des conseils de choix éclairés et des services de contraception modernes sur une période de six mois se terminant en juin 2019 dans cinq villes de l’Uttar Pradesh (Allahabad, Firozabad, Gorakhpur, Saharanpur et Varanasi).

Les couples sont invités à pratiquer le planning familial dans le cadre du QCE

A mobile clinical outreach team from Marie Stopes International, a specialized sexual reproductive health and family planning organization on a site visit to Laniar health center, a rural area, where they offer many sexual reproductive health services and counseling, including the full range of family planning options, emergency contraception, pre- and post natal care, and cervical cancer screening and treatment.

À la suite de l’avertissement du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) selon lequel les fermetures pourraient entraîner sept millions de grossesses non désirées dans le monde, le ministère de la santé a rappelé hier aux couples qu’ils devaient pratiquer le planning familial pendant la quarantaine communautaire renforcée.

RAHNUMA – Lettre d’information de l’APFP : Réponse au coronavirus

Muslim woman using phone outside in the street

Rahnuma-FPAP, avec d’autres acteurs de la société civile, aide les autorités sanitaires de l’État à lutter efficacement contre cette vague soudaine de COVID 19, car ces entités ont joué un rôle indispensable en première ligne pour fournir une aide d’urgence aux zones les plus touchées.

Les effets dévastateurs du COVID-19 sur la santé maternelle au Zimbabwe

Patients at the maternity ward of Reproductive Health Uganda's clinic in Mbale. Women can get antenatal and after birth care.

Rutendo* approchait de la date de son accouchement lorsque le gouvernement a annoncé la fermeture de 21 jours pour lutter contre le COVID-19. Elle vit dans une région agricole, à 35 kilomètres du centre de soins le plus proche, et ses chances d’obtenir une ambulance à temps pour des soins d’urgence ont toujours été minimes. La sœur aînée de Rutendo est décédée il y a cinq ans à la suite de complications pendant la grossesse et sa mère, ne voulant prendre aucun risque, a envoyé Rutendo à l’hôpital de district le plus proche pour “s’asseoir et attendre” un accouchement en toute sécurité avant l’entrée en vigueur du bouclage le 30 mars. Le lendemain, Rutendo a accouché d’une petite fille pleine de vie. Souffrante, elle s’attendait à rester au moins deux jours en observation, mais elle a été libérée au bout d’une nuit, lorsque le confinement a commencé.