Si la pandémie de COVID-19 nous a appris quelque chose, c’est que la santé de chacun est profondément interconnectée. Nous l’avons reconnu dans les objectifs de développement durable, dans l’ODD 3 : une bonne santé et un bien-être pour tous. Mais nous n’atteindrons jamais cet objectif en segmentant les personnes et leurs soins de santé. Cela s’applique également à la planification familiale. Or, si les personnes les plus exclues et les plus stigmatisées de nos communautés ne peuvent pas utiliser les services de planification familiale disponibles, nous ne parviendrons pas à atteindre nos objectifs en matière de planification familiale.
Mois : juin 2021
Deux ans plus tard, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour parvenir à des soins intégrés dignes de ce nom
Réflexions sur l’anniversaire de l’étude ECHO
Introduction d’une méthode de planification familiale à longue durée d’action dans les catalogues de produits de l’USAID et du FNUAP
Le dispositif intra-utérin (DIU) à libération de lévonorgestrel, également connu sous le nom de DIU hormonal ou de système intra-utérin (SIU) hormonal, a été ajouté pour la première fois à la liste des produits américains. Le catalogue de produits de l’Agence pour le développement international (USAID) et le catalogue de produits du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP).
Le planning familial n’est pas réservé aux “personnes âgées et mariées” : Réflexions du Comité des jeunes conseillers africains d’EGPAF sur les défis et les réalités de la désinformation autour de la planification familiale et du VIH
Nous sommes des jeunes vivant avec le VIH, originaires de 11 pays africains, qui constituent le Comité des jeunes conseillers africains (CAYA) de la Fondation Elizabeth Glaser pour le SIDA pédiatrique. Dans nos pays respectifs, nous jouons différents rôles, tels que ceux d’éducateurs pour les pairs, de champions de la jeunesse et de défenseurs de la jeunesse. Nous participons également activement aux dialogues sur la santé reproductive des adolescents et des jeunes aux niveaux national et local.
Le plaidoyer confessionnel en faveur de la planification familiale fonctionne : Données du Kenya et de la Zambie
On suppose souvent que la religion a une influence négative sur la planification familiale (PF), alors que pratiquement toutes les traditions religieuses soutiennent le concept d’un calendrier et d’un espacement sains des grossesses. Le soutien interconfessionnel à la PF existe, comme le montre la Déclaration interconfessionnelle pour l’amélioration de la santé et du bien-être des familles, signée par un comité de dirigeants chrétiens, musulmans, hindous et bouddhistes, afin d’encourager l’utilisation de leurs réseaux pour promouvoir un calendrier et un espacement sains des grossesses.
Les Rohingyas déplacés naviguent dans la nouvelle parentalité au Bangladesh
Selon une enquête, le nombre d’accouchements en dehors d’un établissement, qui augmentent les risques de blessures et de décès, a diminué au cours des dernières décennies au Bangladesh. La moitié d’entre eux sont désormais des accouchements en établissement, ce qui constitue un facteur important de l’augmentation du nombre d’accouchements effectués par des prestataires ayant reçu une formation médicale.
Accélérer la mise en place de services de planification familiale de qualité
Le projet FP Accelerator de l’OMS aide les partenaires et les ministères de la santé à accélérer la mise en place de services de planification familiale (PF) de qualité et fondés sur les droits, dans le cadre plus large des objectifs de développement durable (ODD), de la couverture sanitaire universelle (CSU) et du 13e programme de travail mondial de l’OMS (GPW13). Le projet contribue spécifiquement à la réalisation des cibles 3.1, 3.7 et 5.6 des ODD, ainsi qu’à l’objectif de la Semaine mondiale de la santé13, qui consiste à augmenter d’un milliard le nombre de personnes couvertes par l’assurance maladie universelle. Le projet OMS-FP Accelerator est coordonné par l’unité Contraception and Fertility Care (CFC) du département Santé sexuelle et génésique et recherche de l’OMS (OMS/SRH) et mis en œuvre avec les bureaux régionaux et nationaux de l’OMS.
Une nouvelle voie vers l’institutionnalisation d’une participation significative des jeunes : Comment passer des promesses aux pratiques
La plupart des organisations qui travaillent avec et pour les jeunes s’efforcent d’impliquer véritablement les jeunes dans leur travail – après tout, “rien sur nous, sans nous” est un slogan que nous avons entendu maintes et maintes fois. Cela nous rappelle que si l’on veut que les programmes et les politiques destinés aux jeunes fonctionnent, il faut que les jeunes y participent pleinement et de manière significative.